[JOURNAL] À LA MERCI DES GRÈVES AUXQUELLES JE NE DIS PAS MERCI


Demain jeudi 18 septembre j'avais prévu un voyage sur Paris pour diverses occasions liées au patrimoine, histoire de reprendre le chemin des écoliers dans la mesure où j'ai l'opportunité de m'organiser dans mes activités littéraires, artistiques et patrimoniales. Lorsque la semaine dernière j'ai entendu la possibilité d'un second jour de grève, notamment dans les transports en communs, je me suis dis "ma sortie du 18 est compromise".

J'attendais, j'attendais et bien entendu, le couperet est tombé : demain tout est bloqué ou presque. Pas de transport. Bazar (pour être polie) dans les rues. Des drames humains vont encore avoir lieu : peur de pas pouvoir aller à l'école, au travail, peur de voir son magasin détruit, peur d'avoir sa voiture saccagée, peur de la violence gratuite à laquelle nous sommes tous soumis si l'on fait une mauvaise rencontre.

Je vais rester dans ma campagne mais je pense à ceux qui vont subir, une fois de plus, la déliquescence d'une société prompte à se rebeller contre un système qu'elle a elle-même adoubé en son heure.

Pour moi la grève admissible c'est une grève qui n'impacte qu'un patron qui reste sourd aux revendications des salariés qui mettent en jeu leur VIE en travaillant dans des conditions insalubres ou dangereuses, ce n'est pas de mettre le chaos et le feu dans les rues !

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