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[TOURISME] Le musée Cognacq-Jay à Paris

Encore un musée de la ville de Paris ; celui-ci est consacré à l'art du XVIIIème et se trouve dans le quartier du Marais, au 8 rue Elzévir.



La cour intérieure du très bel hôtel Donon, l'une des maisons de ville construite à la fin du XVIe siècle.


Croyez-le ou pas, j'étais cette fois, absolument seule pour visiter le musée (j'avoue ne pas m'en plaindre, j'adore cette impression d'avoir une grande maison à moi !).

J'aime beaucoup la chaleur des boiseries et marquetteries qui font un écrin à de très beaux meubles, bien conservés et/ou rénovés.


La visite est fléchée, il suffit de sa laisser faire par la géographie des lieux, entre salons et corridors.

Une collection riche de meubles, figurines, statues, peintures de Boucher, Chardin et Fragonard, dessins de Watteau, sculptures et meubles estampillés, objets précieux (bijoux, tabatières, porcelaines de Saxe...).


En plein coeur de Paris, nous découvrons l'intérieur d'une demeure du Siècle des Lumières.


Toutes ses merveilles font partie des collections léguées à la Ville de Paris par Ernest Cognacq et son épouse, Louise Jay.


Vue du Canal de Santa Chiara à Venise
par Antonio Canal dit Canaletto


Un impressionnant lit "à la polonaise" surmonté d'un dais attribué à l'ébéniste Georges JACOB.
(le mur est sur le côté et non à la tête de lit comme pour le lit à baldaquin)



La pièce la mieux exposée, la plus magnifique aussi : le grand salon où l'on ne peut pénétrer mais qui offre de nombreuses ouvertures permettant d'admirer chaque recoin.

Et pour finir, un montage d'une statue d'enfant telle que nous la découvrons en arrivant puis en redescendant l'escalier à la fin de la visite.



Une autre composition : il s'agit de deux tableaux d'enfants, qui, en réalité se font face dans la pièce.


Et pour achever ma présentation, un medley :
à gauche : Faunesse assise avec deux petits faunes par Joseph-Charles Marin
au centre un Phénix en porcelaine de Chine
en haut à droite : les trois nymphes par Pierre Julien
en bas à droite : les pieds du faune au chevreau par Jacques-François-Joseph Saly

Je n'ai malheureusement pas pû accéder au dernier étage pour y admirer la charpente et les autres pièces exposées car il n'y avait pas assez de surveillants ce jour là et que les surveillants présents ne pouvaient pas me laisser monter seule, il faudra donc que j'y revienne.

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